Faits marquants de l’actualité
- Seulement 28 % des travailleurs du savoir de divers secteurs à travers le monde ont des relations saines au travail, soit une augmentation de 1 % par rapport à 2023
- L’utilisation de l’IA parmi les travailleurs du savoir a bondi à 66 % en 2024, soit une hausse de 38 % par rapport à l’année précédente. En outre, les travailleurs qui utilisent l’IA sont 11 % plus satisfaits de leur rapport au travail que leurs collègues qui ne l’utilisent pas
- Au moins deux tiers des travailleurs du savoirs souhaitent des expériences de travail personnalisées et 87 % seraient disposés à sacrifier une partie de leur salaire pour en bénéficier
- Seulement 44 % des dirigeants ont confiance dans leurs compétences de gestion humaine. Les femmes qui dirigent une entreprise sont considérablement plus sûres d’elles que leurs homologues masculins
PALO ALTO, Californie, 25 sept. 2024 (GLOBE NEWSWIRE) — Aujourd’hui, HP Inc. (NYSE:HPQ) a publié son deuxième Indice de rapport au travail HP (WRI) annuel, une étude complète qui explore le rapport au travail à travers le monde. Cette étude, qui a interrogé 15 600 personnes de divers secteurs dans 12 pays, révèle que le rapport au travail n’est pas encore suffisamment sain. Seulement 28 % des travailleurs du savoir ont un rapport sain au travail, une hausse de 1 % par rapport aux conclusions de l’année passée. Toutefois, de nouvelles constatations ciblent plus particulièrement deux solutions potentielles pour améliorer le rapport au travail : l’IA et des expériences de travail personnalisées.
« Nous savons que les attentes des employeurs et des employés ont évolué. Nous sommes convaincus que la technologie intelligente est la solution pour répondre aux besoins des travailleurs de notre époque », déclare Enrique Lores, président et PDG de HP Inc. « L’avenir du travail réside dans l’utilisation du pouvoir de l’IA pour créer des solutions et des expériences qui favorisent la croissance des entreprises et permettent à chacun de s’épanouir personnellement et professionnellement. »
Des expériences de travail personnalisées peuvent créer un rapport plus sain au travail
Dans sa deuxième année, l’étude a poursuivi l’analyse des divers aspects du rapport au travail, notamment le rôle du travail dans la vie des travailleurs, leurs compétences, les capacités, leur lieu de travail et leurs attentes envers leurs dirigeants. Cette année, le WRI révèle un besoin universel majeur de la part des travailleurs du savoir : des expériences de travail personnalisées.
Au moins deux tiers des travailleurs ont exprimé le souhait d’avoir des expériences de travail personnalisées, notamment des espaces de travail adaptés, l’accès à leurs technologies privilégiées et des environnements de travail souples. Ces expériences sont primordiales pour améliorer le rapport au travail et elles ont des incidences positives, tant pour les employés que pour les entreprises :
- 64 % des travailleurs du savoir déclarent que si le travail était adapté ou personnalisé en fonction de leurs besoins et de leurs préférences personnelles, ils seraient plus investis dans la croissance de l’entreprise.
- 69 % des travailleurs du savoir sont convaincus que cela contribuerait à l’amélioration de leur bien–être général.
- 68 % des travailleurs du savoir ont indiqué que cela les motiverait à rester plus longtemps avec leur employeur actuel.
Ce désir de personnalisation est tellement fort que 87 % des travailleurs du savoir seraient disposés à sacrifier une partie de leur salaire pour en bénéficier. En moyenne, les travailleurs seraient prêts à renoncer à jusqu’à 14 % de leur salaire, les travailleurs de la génération déclarant pouvoir aller jusqu’à 19 %.
L’IA ouvre aux travailleurs du savoir de nouvelles opportunités de s’épanouir au travail et d’améliorer leur productivité
L’utilisation de l’IA parmi les travailleurs du savoir a bondi à 66 % en 2024, soit une hausse de 38 % par rapport à l’année précédente. Les travailleurs qui utilisent l’IA en constatent les bénéfices, notamment un rapport plus sain au travail :
- 73 % estiment que l’IA leur facilite la tâche et près de 7 sur 10 (69 %) personnalisent leur utilisation de l’IA pour être plus productifs, indiquant que l’IA pourrait être un ingrédient de la création d’une expérience de travail plus personnalisée.
- 60 % déclarent que l’IA joue un rôle majeur dans l’amélioration de l’équilibre entre leur vie privée et leur vie professionnelle.
- 68 % indiquent que l’AI ouvre de nouvelles possibilités d’épanouissement au travail.
- 73 % s’accordent à dire qu’une meilleure connaissance de l’IA facilitera l’avancement de leur carrière.
En outre, les travailleurs qui utilisent l’IA sont 11 % plus satisfaits de leur rapport au travail que leurs collègues qui ne l’utilisent pas. Par conséquent, il est urgent de mettre l’IA entre les mains des travailleurs le plus rapidement possible. En effet, il a été démontré que ceux qui n’utilisent pas l’IA craignent davantage qu’elle supplante leur emploi, avec 37 % qui expriment leur inquiétude à ce sujet, soit une augmentation de 5 % par rapport à l’année passée.
Les dirigeants d’entreprise manquent de confiance ; les femmes dirigeantes d’entreprise suscitent une lueur d’espoir
Bien qu’à l’échelle mondiale l’indice indique peu de changements, les pays qui ont enregistré une hausse de leur indice en termes de rapport au travail des travailleurs ont également présenté une légère amélioration des six principaux facteurs favorisant un rapport sain au travail, notamment les facteurs de leadership et d’épanouissement. Cette année, l’indice a révélé que la confiance dans les responsables reste un facteur déterminant pour un rapport au travail sain. Il existe toutefois un écart entre la reconnaissance de l’importance des compétences de gestion humaine (par ex. pleine conscience, connaissance de soi, communication, pensée créative, résilience, empathie, intelligence émotionnelle) et la confiance des dirigeants à les mettre en pratique :
- Alors que plus de 90 % des responsables reconnaissent les avantages de l’empathie, seulement 44 % ont confiance dans leurs compétences de gestion humaine.
- Seulement 28 % des travailleurs constatent une empathie systématique de la part de leurs responsables, malgré que 78 % y attache une grande importance.
Néanmoins, l’étude de cette année a révélé une lueur d’espoir : les femmes dirigeantes. En moyenne, les femmes qui dirigent une entreprise sont 10 % plus confiantes dans leurs savoir–faire (technique, informatique, présentation, etc.) et notamment 13 % plus confiantes dans leurs compétences de gestion humaine que leurs homologues masculins. Par ailleurs, la confiance des dirigeantes d’entreprise dans ces deux domaines a enregistré une hausse au cours de l’année passée (+10 % pour les compétences de gestion humaine et +4 % pour les savoir–faire), alors que la confiance parmi les hommes qui dirigent une entreprise a stagné en termes de compétences de gestion humaine et a baissé pour les savoir–faire (–3 %).
Pour en savoir plus sur l’Indice de rapport au travail de HP, veuillez consulter le site du WRI et pour lire le rapport dans son intégralité, veuillez consultez la HP Newsroom.
Méthodologie
HP a commandé un sondage en ligne administré par Edelman Data & Intelligence (DXI), qui s’est déroulé du 10 mai au 21 juin 2024 dans 12 pays : États–Unis, France, Inde, Royaume–Uni, Allemagne, Espagne, Australie, Japon, Mexique, Brésil, Canada et Indonésie. HP a interrogé un total de 15 600 personnes, soit : 12 000 travailleurs du savoir (1000 dans chaque pays), 2 400 décideurs (200 dans chaque pays) et 1 200 dirigeants d’entreprise (100 dans chaque pays).
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GLOBENEWSWIRE (Distribution ID 9236209)